VEKA en France
Un acteur majeur du marché français de la fenêtre PVC
Une filiale implantée en France depuis plus de 30 ans
VEKA est implanté depuis 1988 en France, à Thonon-les-Bains, en Haute-Savoie. La filiale française du Groupe allemand se distingue en concevant des systèmes de menuiseries PVC adaptés aux particularités architecturales du marché hexagonal.
Elle met ainsi en place sa propre stratégie d’entreprise en toute autonomie (développement produits, marketing, distribution, etc.) et dispose d’un remarquable outil de production à la hauteur de ses ambitions.
Les chiffres-clés de VEKA en France :
- Une usine qui s’étend sur 33 000 m²,
- 18 lignes d’extrusion/coextrusion fonctionnant 7 jours/7 et 24 heures/24,
- 3 unités de plaxage couleur,
- 200 personnes,
- 17 000 000 mètres linéaires de profilés PVC commercialisés chaque année sur le marché hexagonal, les DROM et les pays francophones du bassin méditerranéen,
- Fabrication française : 95% des produits vendus par VEKA SAS sont fabriqués sur le site de notre usine de Thonon-les-Bains.
VEKA est un employeur industriel du Chablais qui recrute régulièrement. N’hésitez pas à consulter nos offres d’emploi ou à nous faire parvenir votre candidature spontanée pour nous rejoindre.
Vous êtes manuel, minutieux, vous aimez le challenge et le travail en équipe ? Nous avons de nombreux postes à pourvoir .
Index d’égalité professionnelle Hommes-Femmes
L’index d’égalité professionnelle permet aux entreprises de mesurer l’égalité salariale femmes-hommes au sein de leur structure.
Il a donc pour objectif de mettre fin aux inégalités professionnelles.
Ainsi, il évalue :
- Les écarts de rémunération entre hommes et femmes,
- La répartition des augmentations ou des promotions,
- La parité parmi les plus hautes rémunérations,
- Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé maternité.
VEKA France a donc calculé son score pour 2024 :
- Indicateur relatif à l’écart de rémunération : 31 / 40.
- Indice relatif à l’écart de taux d’augmentations individuelles : 35 / 35.
- Indicateur relatif au % de salariées ayant bénéficié d’une augmentation dans l’année suivant leur retour de congé maternité : non calculable.
- Indicateur relatif au nombre de salariées du sexe sous-représenté parmi les 10 salariés ayant perçu les plus hautes rémunérations : 5 / 10.
Notre résultat global sur 100 est de 84/100 ou 71/85.