Le technicien de maintenance intervient dans l’entretien et le dépannage des équipements et machines VEKA.

Particulièrement curieux et minutieux, ce poste est idéal pour les personnes qui aiment l’exploitation de données et la résolution de problèmes.

Comment travaille le technicien de maintenance chez VEKA ?

Le technicien de maintenance est un véritable gestionnaire capable d’effectuer une recherche de pannes pour identifier leurs causes en cas de problème. Grâce à ses connaissances, il est capable d’assurer un diagnostic et un dépannage rapide et définitif.

Cet expert en son domaine a de nombreuses compétences. Il sait : 

• identifier les composants électriques, mécaniques, hydrauliques et pneumatiques nécessaires aux dépannages ;
• étudier les plans, schémas, notices constructeurs, dossiers techniques…

Très complet, ce poste permet d’intervenir à plusieurs niveaux. Le technicien de maintenance assure les interventions de son propre chef ou sur demande. Il sait réaliser des modifications simples de matériel ou d’équipement, intervenir ou prévenir en cas de présence d’un dysfonctionnement imminent et localiser les pièces détachées en stock.

Les qualités du technicien de maintenance : rigueur, autonomie et force de propositions

Le technicien de maintenance veille à effectuer son travail dans le respect de l’ordre et de la propreté.

Il participe au cycle d’astreinte défini par le responsable maintenance et contribue à l’installation et à la mise en route de nouveau matériel ou à son amélioration.

Il veille à la fiabilité des données :  

• Effectuer les rapports d’activité quotidien par mail de façon claire et précise.
• Utiliser notre logiciel de maintenance (GMAO) pour la création, la clôture des demandes d’interventions et la sortie des pièces détachées.
• Remplir les documents demandés (feuilles astreinte, classeur sprinckler…).
• Renseigner les différents fichiers de suivi (station des eaux, broyeur…).
• Informer en cas de rupture ou besoin de pièces détachées.
• Informer le chef d’équipe ou superviseur en fin d’intervention.

Enfin, comme toute personne de l’équipe VEKA, le technicien de maintenance respecte et fait respecter les consignes d’hygiène et de sécurité dans son secteur. 

Il effectue également de la maintenance préventive : il anticipe les pannes potentielles et a à cœur de proposer des actions concrètes qui peuvent réduire le nombre d’accidents dans son secteur.

Il peut être amené à intervenir ou alerter en cas de présence de situation dangereuse. 

Lorsqu’il intervient sur une machine, il le fait toujours de manière sécuritaire. De plus, il n’utilise que les équipements pour lesquels il est habilité et à jour.

Nous recrutons des techniciens de maintenance dans le 74

Vous souhaitez rejoindre l’équipe VEKA sur son site de production à Thonon-les-Bains (74200) ?

Notre service recrutement recherche des techniciens de maintenance : 

• Expérience souhaitée : Expérience confirmée en maintenance industrielle.  
• Formation : Bac pro ou Bac+2. Bac pro ou BTS/DUT maintenance ou équivalent / Formation technicien maintenance.
• Maîtrise logiciel : Bureautique Excel, Word.
• Qualités personnelles : consciencieux, rigoureux, autonome, minutieux, calme, communiquant et méthodique.

Vous travaillerez au département Direction des opérations à l’unité Maintenance, en étroite collaboration avec le responsable Maintenance. Pour postuler, contactez-nous à : jobfrance[at]veka.com

Ce qu’il faut retenir

• Le technicien de maintenance répare les machines en cours de production. Il peut intervenir à tous les niveaux, pour des pannes plus ou moins importantes. 
• Il doit savoir garder son calme et agir avec rigueur en toutes circonstances. Persévérant, il ne se laisse pas décourager par l’échec.
• En une année, le technicien de maintenance effectue en moyenne 1 000 demandes d’interventions sur plus de 300 équipements.

PORTRAIT :  Damien, technicien de maintenance industrielle

 

Comment t’appelles-tu et quel est ton parcours ?

Je m’appelle Damien, je suis technicien de maintenance industrielle chez VEKA depuis 4 ans.

Je viens d’une filiale professionnelle, avec un bac professionnel en 3 ans sur la maintenance des équipements industriels. Mon premier travail, c’était de l’électricité en bâtiment car c’était compliqué de trouver tout de suite un poste qualifié. Même en sortant du bac, les recruteurs recherchaient avant tout des profils expérimentés.

J’ai travaillé dans pas mal d’entreprises en France et en Suisse, puis j’ai trouvé des postes de technicien de maintenance en Suisse. C’était sur des machines de tubes (inox et acier) pour de maintenance préventive et corrective. 

Je suis ensuite arrivé chez VEKA où j’ai eu la chance de pouvoir montrer mes connaissances en tant que technicien de maintenance. C’est ici que j’ai vraiment fait mes preuves et que j’ai pu gagner en compétences.    

Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton travail ?

Je dirais, le renouvellement. Dans le sens où ce n’est jamais tous les jours pareil. Bien sûr, on va tomber sur des pannes récurrentes et qu’on connaît. Parfois, ce sont aussi des pannes beaucoup plus complexes qui peuvent nous donner du fil à retordre et c’est là que ça peut devenir encore plus intéressant. Même si c’est bien que ça n’arrive pas trop souvent car ce genre de panne peut parfois nous bloquer un jour ou deux. 

 
Comment tu expliquerais ton métier à quelqu’un qui n’y connait rien ?

Je dirais tout simplement que je répare des machines en cours de production, en l’occurrence les machines d’extrusion et de plaxage chez VEKA. Mais on peut aussi intervenir partout : sur les chariots, les équipements communs…

Pour résumer, mon travail, c’est de réparer les machines quand elles produisent et éviter l’interruption de service et les pannes. Si on peut prévoir les pannes avec de la maintenance préventive quand on sent qu’une pièce est sur le point de lâcher, c’est encore mieux. 

Comment s’organise ton travail ? 

Nous sommes 5 à faire le même poste, et 4 d’entre nous tournent sur différentes astreintes. 

De manière générale, je dirais que je ne passe que 10% de mon temps devant un ordinateur. J’utilise les logiciels informatiques pour la gestion des stocks, les compte-rendus, les demandes d’intervention et la résolution des problèmes.

Sur une journée-type de 7 heures, je passe 30 à 45 minutes sur l’ordinateur. Le reste du temps, je le passe dans l’usine et sur les machines.  

 

Est-ce que tu trouves que ton travail a beaucoup évolué ces dernières années ?

Je suis relativement jeune dans l’entreprise, mais je vois déjà un changement à mon échelle au niveau sécurité. Il y a quelques années, les normes étaient moins strictes et on voit une réelle évolution à ce niveau-là.
Le métier change, forcément, les disjoncteurs et les variateurs ne sont plus les mêmes qu’il y a 30 ans par exemple. C’est ça qui est intéressant dans ce métier, on est obligés d’évoluer en même temps que les machines, il faut être curieux et avoir envie de s’interroger sur certaines pannes. 

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui débute dans ton poste ? 

 Je dirais d’avoir le sens de la persévérance et de bien écouter car il y a beaucoup d’informations à traiter. Sur certaines pannes, on peut être vraiment en difficulté et être tenté de s’énerver. C’est important de savoir rester calme et de persévérer pour essayer d’y arriver par soi-même en s’intéressant réellement aux machines. Mais aussi de savoir se faire aider quand c’est nécessaire. 

Après, je sais que ce n’est pas toujours facile d’éviter la pression. Parfois, on est déjà sur une première panne et une autre panne arrive en même temps. Il faut savoir évaluer et gérer ses priorités en fonction de la production en cours, en s’appuyant sur l’avis de son supérieur.